La France contrôle ceux qui travaillent, pendant que trafics et dépendance alimentaire progressent. Il est temps de retrouver du bon sens, de la souveraineté et de l’autorité.
Je veux aujourd’hui parler d’un problème que beaucoup de Français voient tous les jours, et que pourtant certains responsables continuent d’ignorer.
Dans notre pays, on a l’impression qu’il est devenu plus facile de contrôler un paysan, de sanctionner un artisan, ou de mettre une pression administrative énorme sur quelqu’un qui travaille…
Que de démanteler un point de deal tenu par quatre gamins dans une cité.
C’est ça, la réalité.
Ceux qui se lèvent tôt, qui nourrissent la nation, qui font tourner le pays, sont étouffés par les normes, les inspections, la paperasse…
Et ceux qui pourrissent la vie des quartiers, qui alimentent la violence et la drogue, semblent parfois avancer tranquillement, comme si de rien n’était.
Ce décalage, c’est ce qui crée la colère.
Et cette colère, elle est légitime.
Parce qu’un pays qui tape sur ses travailleurs, et qui laisse prospérer la délinquance organisée, perd le sens des priorités, de la réalité.
Et à cela s’ajoute une autre absurdité :
nous sommes en train de perdre notre souveraineté alimentaire.
Comment un pays comme le nôtre, une terre agricole, une terre de savoir-faire, peut-il accepter de dépendre de produits importés, fabriqués avec des règles que nos propres agriculteurs n’ont même plus le droit d’utiliser ?
Comment peut-on demander à nos paysans d’être irréprochables, tout en laissant entrer des marchandises qui ne respectent même pas les standards que nous imposons ici ?
C’est ça, la mondialisation telle qu’elle est aujourd’hui : on affaiblit ceux qui travaillent chez nous, et on ouvre la porte à des produits qui cassent nos prix, nos emplois, et notre autonomie.
Moi, je le dis clairement :
Un pays qui ne maîtrise pas ce qu’il mange,
un pays qui ne maîtrise pas ce qui circule dans ses rues,
un pays qui ne protège pas ceux qui le font vivre…
Ce pays-là se met en danger.
Il est temps de remettre de l’ordre, de stopper les forces du désordre.
De soutenir celles et ceux qui travaillent honnêtement.
De reprendre le contrôle sur notre sécurité.
De retrouver notre souveraineté alimentaire, pour que la France puisse décider elle-même de ce qu’elle produit, de ce qu’elle consomme et de la manière dont elle protège ceux qui la nourrissent.
Ce n’est pas du luxe :
c’est vital pour notre avenir.
Merci.
KoSmOs
ALPA DU KOSMOS