Un appel à la révolution intérieure. Face à un monde où les pensées semblent pré-fabriquées, un changement de paradigme s'impose. Ce texte, explore la quête d'autonomie intellectuelle, la nécessité de trancher le "cordon ombilical" de la mémoire collective. Il célèbre l'homme nouveau, celui qui ose penser par lui-même et créer son propre univers. Un voyage au cœur de l'esprit, vers la liberté.

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L'homme nouveau se tient prêt. Il sent le poids, lourd, de la mémoire, de ce que l'on a voulu lui inculquer. Un "cordon ombilical" invisible, tissé de mots, d'histoires, de dogmes, qui le relie à la pensée collective, à l'humanité entière. Il est une prison dorée, une illusion de sécurité, un confort douillet qui l'empêche de s'élever. Mais au fond, il sait. Il sent la domination sournoise, la négation de son propre être, de sa singularité. C'est une abdication de sa propre capacité à penser, à ressentir, à créer. C'est un vol, un larcin de son potentiel.

Mais l'homme nouveau refuse cette dépendance. Il aspire à l'autonomie intellectuelle, à la liberté de l'esprit. Il veut ses propres pensées, forgées dans le creuset de son expérience, de ses questionnements, de ses doutes. Il veut les créer, les façonner, les vivre pleinement. Il veut être le maître de son propre univers intérieur. Il prend alors son courage à deux mains, et se prépare à l'acte le plus radical : trancher le lien.

Il brandit l'épée, non pour blesser, Mais pour libérer l'esprit entravé. L'acier scintille, prêt à percer, Le voile sombre, le lien gravé. Il tranche le fil, d'un geste ferme et sûr, Brisant les chaînes, dissipant l'obscur.

Loin des échos, des voix lointaines, Il s'éveille enfin, à son propre chant. Il crée ses rêves, ses lendemains, Et devient l'artiste, l'instant présent. Il est le maître, l'auteur, le créateur, D'un monde neuf, où l'esprit est vainqueur. Il ose penser, de ses propres veines, Et s'élève enfin, libre, serein.


KoSmOs 

AL LA

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